Les discussions récentes sur la réglementation des stablecoins à Hong Kong sont devenues de plus en plus animées. De nombreuses interprétations sont apparues en ligne, affirmant que "tous les détenteurs de stablecoins doivent passer par une vérification d'identité (KYC)", ce qui a suscité de vives controverses : "Si tous les transferts on-chain nécessitent une KYC, comment peut-on parler de Décentralisation ?" "La réglementation n'est-elle pas trop conservatrice, nuisant à l'innovation financière ?" Ces voix ne sont pas sans fondement, mais reflètent-elles vraiment l'intention réglementaire de la Hong Kong Monetary Authority (HKMA) ? Après avoir étudié en profondeur deux documents clés - les "Directives de supervision des émetteurs de stablecoins" et les "Directives sur la lutte contre le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme", nous avons tiré une réponse avec plus de détails techniques et de limites juridiques : ???? Tous les détenteurs de jetons ne doivent pas passer par une KYC, à condition que l'émetteur puisse prouver que son mécanisme de gestion des risques est suffisamment efficace. Cet article partira de la distinction client vs non-client, Marché primaire vs Marché secondaire, pour clarifier la logique d'application du KYC pour les stablecoins, préciser la véritable ligne de fond de la réglementation, et fournir un cadre de jugement applicable tant aux projets de fête qu'aux équipes de conformité.
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Les discussions récentes sur la réglementation des stablecoins à Hong Kong sont devenues de plus en plus animées. De nombreuses interprétations sont apparues en ligne, affirmant que "tous les détenteurs de stablecoins doivent passer par une vérification d'identité (KYC)", ce qui a suscité de vives controverses : "Si tous les transferts on-chain nécessitent une KYC, comment peut-on parler de Décentralisation ?" "La réglementation n'est-elle pas trop conservatrice, nuisant à l'innovation financière ?" Ces voix ne sont pas sans fondement, mais reflètent-elles vraiment l'intention réglementaire de la Hong Kong Monetary Authority (HKMA) ? Après avoir étudié en profondeur deux documents clés - les "Directives de supervision des émetteurs de stablecoins" et les "Directives sur la lutte contre le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme", nous avons tiré une réponse avec plus de détails techniques et de limites juridiques : ???? Tous les détenteurs de jetons ne doivent pas passer par une KYC, à condition que l'émetteur puisse prouver que son mécanisme de gestion des risques est suffisamment efficace. Cet article partira de la distinction client vs non-client, Marché primaire vs Marché secondaire, pour clarifier la logique d'application du KYC pour les stablecoins, préciser la véritable ligne de fond de la réglementation, et fournir un cadre de jugement applicable tant aux projets de fête qu'aux équipes de conformité.